J’aime bien l’histoire de la “soucoupe,” de Jean-Jacques Pauvert,[1] soucoupe de plongée, submersible, dans laquelle il aurait la capacité de disparaître et de s’isoler hermétiquement du monde. (Déjà, bien entendu, le château de Silling !)
[1] Sade vivant, Robert Laffont, 1986.